Grégory Villemin - acte 1  - IDENTOLOGIE ®

Grégory Villemin - acte 1 - IDENTOLOGIE ®

Décoder un prénom qu'est-ce que ça veut dire ? 
D'un point de vue Identologique ?

👉👉Voici ce que ça donne pour l'acte 1 de Grégory Villemin.

‼️Je pourrais développer plus tard chaque point précis ouvrir des sous-tiroirs mettre en lumière des éléments, des faits, des comportements. 
Vous révéler la raison de sa conception ? Un enfant prédestiné à la vengeance...

🤐Ce qui est le plus troublant et qui demanderait vraiment d'être exploré dans son identité, c'est le fait qu'il ne soit lié à aucun secret de famille et là c'est quand même incroyable parce que c'est visible comme le nez au milieu de la figure alors que tout semble croire l'inverse.

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🕵️♀️ Acte 1 – Deux gestes, deux scènes : la lecture identologique du crime

Lorsqu’on relit l’affaire Grégory Villemin à travers le prisme de l’identologie®, un fait majeur se détache avec évidence :

👉 Ce crime ne s’est pas produit d’un seul souffle, mais selon 2 actions distinctes, portées par des individus différents, et probablement sans coordination directe visible.

👉🧩 Premier acte : l’enfant approché, l’enfant attiré

La première action n’est pas un rapt brutal. Elle ressemble à une approche progressive, presque « apprivoisée ». L’enfant est attiré, non pas pris de force, mais invité à se déplacer.

C’est là qu’interviennent des notions centrales dans la lecture identologique :

✅Manipulation douce,
✅Approche par interaction,
✅Construction d’une illusion temporaire.

Grégory ne s’enfuit pas, ne résiste pas. Il semble au contraire entrer dans une scène, répondre à une proposition. L’élément déclencheur pourrait être un autre enfant, un animal, ou un objet d’attrait, tout ce qui active chez lui une confiance initiale.

👉👥 Des personnes qui ne l’avaient jamais vu

Ce qui rend cette séquence encore plus troublante, c’est que les personnes qui l’ont enlevé ne l’avaient jamais vu en vrai.
Elles l’ont reconnu sur photo, par transmission d’information indirecte.

Ce détail, crucial, déplace totalement l’analyse :

✅Nous ne sommes pas face à des proches,
✅Mais face à des intermédiaires,
✅Guidés par instruction, non par lien affectif.

Et ce fait trouve un écho glaçant dans un PV aujourd’hui annulé, celui de Murielle Bolle :
Elle déclare qu’un petit garçon inconnu est assis à côté d’elle et de Sébastien, le fils de Bernard Laroche.
Elle le voit. Il est là.
Mais elle ne le connaît pas.

Ce détail alimente l’hypothèse d’un déplacement de l’enfant par des personnes ne l’ayant jamais côtoyé, mais à qui on a indiqué qui il était.

👉🧊 Deuxième acte : un changement de ton, une froideur stratégique

La seconde phase est d’une toute autre nature :
Le corps est ligoté avec soin, attaché à un objet lourd, immergé dans une rivière.

On quitte la scène de l’approche pour entrer dans celle de l’effacement :
✅Froid, méthodique,
✅Silencieux,
✅Sans émotion apparente.

Ici, l’enfant n’est plus perçu comme une personne, mais comme un véhicule symbolique. Il devient le support d’un message, ou d’une vengeance silencieuse.

🎭 Le trompe-l’œil : l’enfant comme masque social

Mais ce qui rend cette affaire unique dans sa construction symbolique, c’est ceci :
L’enfant a servi de trompe-l’œil.

Quelqu’un a voulu le faire passer pour sien, ou tout du moins le faire apparaître comme étant à sa place, le temps de quelques heures, peut-être de quelques kilomètres.

Cette illusion, mise en scène avec froideur, a permis de le transporter, de le déplacer sans éveiller les soupçons.
Des témoins, peut-être, l’ont vu sans comprendre.
Parce que tout semblait normal....
Mais où cela s'est il déroulé ?

👉🎬 Acte 2 – Bientôt disponible...
On y révélera comment ce rôle temporaire a été utilisé pour faire porter à l’enfant une mémoire ancienne, une histoire qu’il n’avait jamais vécue, mais qui devait se rejouer à travers lui.

Anastasia GROSS 
Formatrice IDENTOLOGIE®
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